Graso - Alvkarleby Fallen

   

Ensuite une journée à côté d’Oregrund sur l’île de Gräsö le 17 avril à 10 (français, italiennes, Tchèque, allemand) dans 2 voitures.

Départ un peu matinal pour un dimanche matin mais ça en valait le coup. Après un peu plus d’une heure de voiture nous arrivons à Oregrund et à l’embarcadère.

Vue d'Oregrund

Nous attendons pour prendre ce qu’on va appeler un ferry, mais c’est plutôt une plate-forme flottante qui sert de navette entre Oregrund et l’île de Gräso, seul moye d’accéder à l’île (la traversée est d’ailleurs très courte, peut-être 10-15min). Et pour une fois c’est gratuit !! Enfin quelque chose de gratuit pour les voitures ! Une fois sur l’île nous décidons monter tout au nord de l’île. La route est sinueuse et de temps en temps on aperçoit la mer et des maisons qui donnent sur la mer. ca doit être vraiment sympa d’habiter là en été. Le cadre est vraiment splendide. Certes le reste de l’année ça doit être un peu mort.

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Me voilà tout au nord de l'île.

Une fois hors de la voiture nous pouvons pleinement profiter du bord de mer et du soleil. On ne voit pas la mer à perte de vue mais plein d’île, qu’on pourrait rejoindre à la nage en été pour certaines. La côte loin d’être un plage de sable blanc mais n’en est pas moins joli avec ses rochers. Une petite balade pour aller jusqu’au bout de l’île, sur le dernier rocher dépassant hors de l’eau s’impose.

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Et maintenant encore et toujours des photos pour se rendre un peu compte du lieu.

   

Au retour, une petite pose sur un rocher en hauteur pour profiter de la vue et du soleil avant de repartir pour la suite de notre expédition.

Au retour, nous nous arrêtons à ICA, seule magasin de l’île (que nous ayons vu) pour acheter de quoi déjeuner. Le plein effectué nous nous dirigeons cette fois vers l’est de l’île pour trouver un coin agréable pour pique-niquer, ce qui n’est pas très dur… enfin presque : Bambi et sa maman ou son papa ont traversé la route juste devant la voiture de Nono. Ils pourraient faire attention en traversant, il y a une route tout de même. Le coin où nous nous arrêtons est tout aussi joli. On se croirait en vacances en train de faire des ricocher. Bon pour les ricochers j’avoue, j’ai du mal à rivaliser avec Seb (un breton pure souche ;-)), et les autres aussi.

Enfin, comme à mon habitude il faut que je fasse trempette (au moins les pieds). L’eau n’est pas si chaude que ça en fait, mes pieds ne peuvent pas rester très longtemps dans l’eau, mais ils ont été contents de ce bain de fraîcheur.

Il va bien falloir se décider à partir si on veut prendre la ferry et continuer plus au nord ensuite….

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Cette fois le bateau est presque plein (il ne reste que peu de place, et nous ne pensions pas que toutes les voitures pourraient monter à bord). C’est assez marrant aussi, des voiture transporte leur maison en kit, si c’est vrai.

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Maintenant direction les chutes d’eau de Alvkarleby (Alvkarleby Fallen). Enfin c’était sensé être des chutes d’eau mais en fait c’est un barrage. Nous sommes un peu dessus, d’autant plus que le soleil a décidé de nous fausser compagnie en laissant sa place au vent. Mais nous décidons quand même de faire un tour.

Nous découvrons même une sirène sur le barrage, mais qu’est-ce qu’elle est laide. On essaie de l’arranger un peu mais ce n’est pas encore ça.

D’ailleurs qu’est-ce qu’elle fait là paumée sur le barrage à moitié caché ? Sinon d’après les panneaux en saison l’endroit doit grouiller de pêcheurs, mais en ce moment c’est complètement désert. Bon finissons de faire le tour (une partie préfère retourner à la voiture par le même chemin mais avec un groupe d’incorruptibles, nous continuons pour faire un vrai tour en bravant le froid du vent presque glacial.

 

Une fois arrivé à la voiture il faut se décider : qui veut continuer jusqu’à Gävle ? Nous ne sommes pas assez, et étant en démocratie européenne la majorité l’emporte. Tant pis ça sera pour une autre fois, en attendant nous nous arrêtons dans le seul endroit ouvert du coin pour nous réchauffer autour d’un café, d’un plat ou de rien du tout (il n’y a pas de thé).

Voilà une belle journée sur le point de se terminer. Juste après le volley. J’ai découvert que deux petites nations jouaient le dimanche soir à Tunaberg skolan pas très loin de chez moi de 20h à 22h. J’ai juste le temps d’y aller. Et je ne regrette pas, ils ne sont pas beaucoup (c’est mieux qu’avec Norrland). Les gens sont bons, et il y a même un gars de l’équipe de D1 que j’avais vu en match l’autre jour. Bref, c’est génial. Voilà de quoi finir la journée en beauté et épuisée.